Charles de Souvret, Duc d'Orstwych

Caractère : Charles est un homme autoritaire qui peu se montrer imbu de sa personne. Fier héritier de sa Lignée, il connait les codes de la Bonne Société et les rouages en politique qui l'ont amené développer un comportement à la fois calculateur, prudent, fourbe et sournois. S'il est homme de bon sang, il aime plaire et se montrer charmeur. Maîtrisant l'étiquette dans la strasse mondaine, c'est aussi un meneur d'hommes sur le terrain. S'il peut se montrer colérique, cela reste à la marge, l'homme possédant le sang froid d'un Duc qui se doit d'afficher un comportement exemplaire auprès de son peuple. Dans sa vie privé, il peut se montrer vaniteux, orgueilleux et rancunier.

Physique : Bel étalon à la crinière Ambrée, le presque trentenaire arbore une fine barbe doré durcissant légèrement les traits gracile de son visage. Son profond regard émeraude vous envoûte, vous charme, épie votre âme, que les donzelles prennent garde à ne pas y succomber car il sera profiter de vos faiblesses. De grande taille, un bon mètre quatre-vingt dix, le bellâtre a été gâté par la nature, offrant un galbe parfait d’Apollon. Musculeux sans outrance, ces pectoraux, ces cuisses, ces biceps atteste que le noble entretien son physique, chérissant le maniement de la lame et l'équitation. Très soucieux de son apparence,
il porte généralement de somptueuses tenues d'apparats et fait ne se prive pas d'afficher sa richesse vestimentaire, il possède d'ailleurs une armure flamboyante qui ne passe pas inaperçu.

Histoire : Aîné d'une fratrie de cinq enfants, Charles a toujours vécu dans le confort de la noblesse depuis sa plus tendre enfance. En temps que premier né, son destin était tout tracé. Son éducation avait de fait été strict jusqu'à son adolescence, passant d'une préceptrice à une autre, ces parents avaient exigés qu'il se montre irréprochable. Bon élève, il était pourtant un garçon très curieux et jouait en cache de son petit minois attendrissant pour obtenir ce qu'il désirait. Frère protecteur, il aimait ces frères et sœurs comme un père, ce dernier ne pouvant leur accorder beaucoup de temps. La relation avec sa mère était fusionnelle jusqu'à son "émancipation" lorsqu'il dû servir un Seigneur vassal du Duché en temps qu'écuyer. Il se lia d'ailleurs d'amitié et de complicité avec ce dernier qui contrairement à son père était un homme de terrain.

Fort de cette nouvelle vie qui s'affichait devant lui, il prit goût au maniement de l'épée et révéla très vite des aptitude de fin bretteur lors de ces classes auprès du Seigneur qui avait la charge de le former à devenir chevalier, étape indispensable pour devenir plus tard héritier légitime du trône de son père. A cet époque, il découvrit également la passion des chevaux, passant des heures dans les écuries à brosser ces somptueux équidés qui possédaient une relation privilégier avec les humains. Après la cérémonie d'adoubement, il rejoignit la sphère familiale, retrouvant frères et sœurs qu'il n'avait plus ou peu revu durant six longues années. Il était devenu un jeune homme plus endurcit, plus aguerrit face à l'environnement qui allait être le sien. Son père lui donna rapidement des responsabilités au sein du Château et durant sa vingtaines de printemps, il apprit une grande partie des us et coutumes ducale, apprivoisant méthodiquement et patiemment la fonction qui serait un jour la sienne.

Il apprenait vite dans les domaines qui l'intéressait, boudant de plus en plus certaines obligations qu'il considérait comme secondaire. Alors qu'il marchait dans l'ombre de son père, l'héritier croisa le chemin de nombreuses demoiselles, nobles, bourgeoises, fille d'écuries ou domestiques, gravitant autour du Pouvoir. Pouvait on parlé d'amourette? Le jeune homme profitait plutôt de découvrir sa sexualité dans des contextes et lieux bien différent, passant d'un luxueux salon au foin d'une écurie, avec des femmes de plus ou moins d'expérience. Coureur de juppons, il n'en abandonna pourtant pas sa motivation et ce montrer digne héritier, se faisant offrir à ces vingts deux ans l'une des plus importantes troupe cavalière du domaine et à ces vingts-quatre ans le Titre de Bourgmestre d'une cité de première ordre. Parachevant ainsi ces aptitudes à diriger, il côtoya les plus prestigieux cercles mondains ou d'influences pour ainsi prendre la succession de son Père dans les conditions les plus favorables.

Père qui trouva la mort accidentellement après une chute à cheval en pleine forêt. Il fallait dire qu'il était féru de chasse les terres d'Orstwych réputé pour l'abondance de gibiers et son bois qui tout deux en font les ressources principale du Duché. A vingt-six ans, il succéda donc à Feu son Père après une émouvante cérémonie d'adieu. Sa mère l'épaula au Pouvoir et il fallait dire qu'elle avait du mal à le lâcher, mais tout deux semblaient trouver compromis jusqu'à ce qu'à l'aube de ces trente ans la Matriarche ne le pousse à trouver un bon parti pour assurer la Lignée qui avait perduré depuis plus de quatre générations. Si Charles se montra clairement réfractaire, la malice de sa Mère l'emporta, le lendemain du jour où, durant une banale balade, le Duc fut victime d'une tentative d'assassina déjoué par un chevalier fortuné de la région. En signe de récompense pour cet acte de bravoure, et sa Mère sachant l'homme possédant une jeune et jolie jeune fille du nom de Aude d'Erdor, Charles dû épouser la demoiselle et sa confortable dot.